Journal de la sortie de Ces histoires qui arrivent #5 – Diario dell’uscita di Storie che accadono #5

🇫🇷 Ces histoires qui arrivent, arrivent en librairie aujourd’hui. Je veux remercier avant tout Jérôme Nicolas, le traducteur que depuis toujours transforme mes livres dans la belle langue française. Benoît Verhille, mon éditeur, que un jour de février m’a appelé pour me proposer d’écrire un livre pour la collection Fictions d’Europe et moi pour au moins deux minutes (j’étais dans le vaporetto numéro 1, en plein bruit) j’avais compris qu’il s’agissait d’une invitation à un colloque. Je dois le remercier surtout parce que il m’a fait découvrir que je peux écrire un livre en quelque mois et pas pendant des années, comme moi je fais d’habitude. Et aussi les autres amies du staff de La Contre Allée : Marielle Leroy, Anna Rizzello et Anna Fichet. Mon agent littéraire Fiammetta Biancatelli, qui me soutient depuis des années. Mais surtout, je dois remercier Antonio Tabucchi, et qui lira ce récit comprendra très bien pourquoi. Enfin, le plus grand remerciement à Maria José de Lancastre Tabucchi, qui nous a logés chez elle à Lisbonne et qui a été la première lectrice de ce livre, qui existe grâce à elle.

Merci aux libraires, j’en ai une liste des dizaines, mais je veux nommer Fortunato Tramuta, de la librairie Tour de Babel de Paris, qui m’a été introduit par Antonio Tabucchi, duquel il était un très cher ami.

Aux amis lecteurs qu’aujourd’hui ou dans les prochains jours irons chez leur librairie à acheter le livre, encore un grand merci et des plaisirs : m’envoyer des photos du livre en librairie, ou chez-eux, ou au café, ou dans le métro. Et, s’ils ont le temps, quelques mots après la lecture. Et donc, bonne lecture à tous.
🇮🇹 Ces histoires qui arrivent, arrivano oggi in libreria. Voglio ringraziare prima di tutto Jérôme Nicolas, il traduttore che da sempre trasforma i miei libri in quella bella lingua che è il francese. Benoît Verhille, il mio editore, che un giorno di febbraio mi ha chiamato per propormi di scrivere un libro per la collana Fictions d’Europe e io per almeno due minuti (ero a bordo del vaporetto linea 1, in pieno frastuono) ho creduto si trattasse dell’invito a un convegno. Devo ringraziarlo soprattutto perché mi ha fatto scoprire che sono in grado di scrivere un libro in qualche mese e non in anni come mi succede abitualmente. E anche le altre amiche dello staff de La Contre Allée: Marielle Leroy, Anna Rizzello e Anna Fichet. La mia agente letteraria Fiammetta Biancatelli, che mi sostiene da anni. Ma, soprattutto, devo ringraziare Antonio Tabucchi, e chi leggerà questo libro ne capirà bene il motivo. Infine, il più sentito ringraziamento è per Maria José de Lancastre Tabucchi, che ci ha ospitati a casa sua a Lisbona e che è stata le prima lettrice di questo libro, che esiste grazie a lei.

Grazie ai librai, ne avrei decine in lista, ma ne voglio nominare uno, Fortunato Tramuta, della libreria Tour de Babel a Parigi, e che mi è stato presentato da Antonio Tabucchi, del quale era un caro amico.

Agli amici lettori che oggi o nei giorni prossimi andranno in libreria a comprarlo, un sentito grazie anche a loro e dei piccoli favori: inviarmi delle foto del libro in libreria, o a casa loro, o al bar, o in métro. E, se ne avranno il tempo, qualche parola dopo la lettura. E allora, buona lettura a tutti. 

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